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Ouvre les yeux, regarde-moi, et sens-moi te prendre comme jamais personne ne t'a prise avant, et jouis avec moi.
Par MADHATTEREKLABLOG dans Accueil le 18 Janvier 2025 à 22:35Il était environ 7h30 du matin lorsque l’homme arriva devant la maison. C’était un étranger venu d’Afrique, un professionnel appelé pour installer de nouveaux rideaux dans la chambre du couple. Il sonna à la porte. À l’intérieur, le couple entendit la sonnette, mais ne se dirigea pas vers la porte. Celle-ci s'ouvrit automatiquement, comme si le réveil du matin était une habitude qu'ils attendaient sans en être conscients. Mais avant même qu’il n'ait eu le temps de répéter son geste, un léger bruit émana de l’extérieur, suivi d'une voix d'homme. La porte se déverrouilla automatiquement et s'ouvrit comme par magie... L’employé avait été recommandé par des amis du couple. Ils avaient pris rendez-vous avec lui quelques jours auparavant pour qu'il vienne installer de nouveaux rideaux dans leur chambre. Il avait la réputation d’être ponctuel et minutieux, et le couple avait apprécié ses références.
Entrant dans cette grande pièce immense, il entendit de l'autre côté de la porte, à côté, une voix douce. L’homme se laissa guider, suivant la direction claire, presque ensorcelante. C’était la voix d’une femme, calme et séduisante, émanant du système intégré de leur maison. « Entrez, monsieur. » Sa tonalité, à la fois autoritaire et apaisante, portait une sorte d’attraction silencieuse qui, sans qu’il s'en rende compte, influençait ses pas.
L'homme, vêtu d'un uniforme simple mais soigné, les salua d'un sourire discret et respectueux, voyant qu’ils étaient encore à moitié endormis. Lui n’avait même pas eu besoin de se lever ni de se brosser les dents. Ils étaient allongés dans leur lit, l'un d’eux ayant appuyé sur un petit bouton vert de la télécommande placée à côté d’eux. L’ordre était simple : ouvrir la porte. La technologie, toujours plus avancée, avait fait de leur maison un espace où chaque geste était guidé par des commandes à distance.
L’homme, fasciné par la douceur de la voix de la femme, pénétra dans la chambre. Le couple l’attendait, toujours immobile, la télécommande en main. Ils ne parlaient presque pas, leurs yeux fixés sur lui avec une attente calme, lui indiquant de s'avancer. Il s’avança jusqu’à la fenêtre, où il s'apprêta à installer les nouveaux rideaux.
La voix robotique, fluide et parfaite, lui soufflait chaque mouvement, chaque détail à ajuster. C'était comme une sorte de guide invisible, mais omniprésent, qui l'accompagnait dans son travail. La femme, sans dire un mot, semblait là, présente dans chaque geste, chaque ordre subtil que le système de la maison lui communiquait.
Chaque ajustement, chaque geste qu'il effectuait était comme une correction, un perfectionnement, comme un robot intelligent qui réajuste tout. La lumière qui filtrait à travers les rideaux semblait aussi ajustée, comme si la technologie elle-même avait orchestré cet instant. La chambre, d’un calme absolu, était envahie par cette présence robotique, perfectionnée au moindre détail, dans un silence presque hypnotique.
Tout en travaillant, il entendait à nouveau la voix de la femme, qui, sans jamais se montrer, continuait à l'accompagner dans ses gestes. « Ajustez-les un peu plus à gauche, vous y êtes presque », lui soufflait-elle, comme une conseillère invisible mais omniprésente.
L'homme, bien que professionnel, se sentait comme hypnotisé par cette présence virtuelle. Ses mouvements étaient précis, mais quelque chose dans l'atmosphère rendait cette simple tâche plus étrange que d'habitude. La pièce était embaumée d'une douce lumière, et la voix de la femme, dans son esprit, devenait presque une caresse. Elle semblait connaître chaque détail de son travail, comme si elle avait une influence sur chacun de ses gestes.
« Bonjour, vous m'attendiez ? », dit-il, sa voix calme et posée. Le couple lui répondit en souriant, le remerciant d'être venu à l'heure. Ils n’étaient pas pressés. C'était une matinée tranquille, un moment de calme avant que la journée ne commence réellement.
Le poseur de rideaux s’avança dans la chambre, un peu hésitant au début, mais rapidement à l’aise dans cet espace qu’il allait transformer. Il installa ses outils et commença son travail, mesurant minutieusement les fenêtres et ajustant les rideaux. Le couple se tenait à distance, discutant de tout et de rien, observant son travail avec un intérêt discret.
L'homme venait d'Afrique, et parfois, entre deux gestes, il racontait des anecdotes de son pays d’origine, parlant de sa ville natale, de ses habitudes et de sa culture. Le couple l'écoutait attentivement, appréciant cette touche d’exotisme, un petit souffle de lointain dans la routine de leur journée.
Le silence de la chambre, entrecoupé des bruits discrets du travail, était apaisant. Le poseur de rideaux, malgré son accent et son origine lointaine, semblait faire partie du décor. Ses gestes étaient précis, comme s'il avait posé des rideaux dans des milliers de chambres, comme si la tranquillité de ce matin-là faisait partie de son quotidien.quelques minutes plus tard l'employé entendiT.....
je vais te prendre avec force, te baiser comme un animal, et te faire jouir jusqu'à ce que tu sois épuisée, sans me soucier de l'argent.
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