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Par MADHATTEREKLABLOG dans Accueil le 9 Février 2025 à 02:24
Titre : Un simple "bonjour"
Léa et Sophie se retrouvaient souvent dans un café près de chez elles, un lieu qu'elles avaient choisi pour ses grandes fenêtres qui laissaient passer la lumière du matin, et pour l'ambiance tranquille qui les accueillait chaque fois. Ce matin-là, comme tous les autres, elles se retrouvaient après une longue journée de travail.
Léa était déjà là, assise près de la fenêtre, avec son café à la main. Sophie arriva, un sourire amusé sur le visage, se faufilant entre les tables pour rejoindre la place de Léa.
Sophie : (s'installant en face de Léa avec un sourire) Salut, toi. Tu vas bien ?
Léa : (lui souriant en retour, d'un air complice) Je vais mieux maintenant que tu es là.
Sophie : (riant doucement) Tu dis ça à chaque fois, mais c’est vrai que t’es vraiment une vision agréable au matin, tu sais ?
Léa : (esquissant un clin d'œil) Tu me fais rougir. Mais bon, on s’entend bien… Il fallait bien que je te dise "bonjour", de toute façon.
Sophie : (un sourire malicieux sur les lèvres) Ah, tu veux vraiment me dire "bonjour" ? Parce que… tu sais que ce mot, venant de toi, ça me fait carrément jouir, non ?
Léa : (les yeux écarquillés, feignant l'étonnement) Oh là, t’es directe ce matin. C’est comme ça que tu accueilles tes amis, toi ? Un "bonjour" suivi d’un compliment un peu… osé ?
Sophie : (avec une lueur de malice dans les yeux) Oh, je suis pas là pour faire dans la dentelle. Un "bonjour", un simple geste, et je suis déjà bien… captivée. Et toi, tu sais que chaque mot que tu prononces me touche, même quand c'est juste pour me dire "bonjour".
Léa : (riant et se penchant un peu plus près, un ton plus taquin) Donc, si je te dis "bonjour", ça t’enflamme ? C’est un pouvoir que je tiens maintenant ?
Sophie : (haussant un sourcil avec un sourire en coin) Eh bien, oui. Je crois que je suis un peu vulnérable à tes "bonjour". Il n’y a que toi pour me faire réagir comme ça. En plus, quand tu m’accompagnes de ce regard, ce n’est plus qu’un simple mot. C’est une invitation…
Léa : (un peu gênée mais amusée) Tu es une vraie experte en compliments. Tu ne laisses pas une occasion passer, hein ?
Sophie : (se rapprochant un peu plus, tout en la fixant intensément) Je ne veux pas seulement des compliments. Je veux des moments comme celui-ci. Un regard, un sourire, un petit "bonjour" que tu me dis… ça me fait plus que frissonner, ça me fait vivre. Parce que c’est toi, Léa. Avec toi, chaque geste, même le plus simple, devient quelque chose de précieux.
Léa : (touchée par ses paroles, se pinçant les lèvres, émue par l’intensité de l’instant) Tu sais, c’est fou comment tu arrives à rendre un simple "bonjour" si… si spécial. J’ai l’impression que, chaque fois que je te dis ces mots, tout le monde autour de nous disparaît, et c’est juste toi et moi, ici, dans cette bulle intime.
Sophie : (en souriant tendrement) C’est exactement ce que je ressens aussi. Tu me rends complètement vulnérable, Léa. Même ce "bonjour" que tu me dis tout en douceur fait battre mon cœur plus fort. C’est absurde, non ?
Léa : (avec un rire sincère, mais des yeux brillants) Pas du tout. C’est simplement la magie qui naît entre nous, je pense. Tu as ce pouvoir sur moi, Sophie… et, franchement, je crois qu’on pourrait se dire "bonjour" toute la journée, et je serais toujours aussi touchée.
Sophie : (plaçant sa main sur celle de Léa, avec un regard plus doux) Alors, on pourrait passer notre journée à se dire bonjour, à se sourire, et voir jusqu’où ça nous mène… Qu’en dis-tu ?
Léa : (en haussant un sourcil, un sourire malicieux aux lèvres) Si on commence à se dire bonjour comme ça, je sens qu’on risque de ne jamais quitter ce café. Et je ne suis pas sûre que je sois prête à arrêter de te regarder comme ça.
Sophie : (un sourire satisfait, se penchant légèrement vers Léa) Alors on peut commencer par un autre "bonjour", peut-être un peu plus... intime ?
Léa : (avec un éclat de rire et un regard pétillant) Un "bonjour" avec un baiser, tu veux dire ?
Sophie : (sans hésiter, se rapprochant d’un geste lent) Exactement. Un "bonjour" qui n’en finit pas…
Le baiser entre Léa et Sophie se prolonge un instant, comme un moment suspendu dans le temps. Les deux femmes savourent ce geste, sentant l'électricité de leur connexion, chaque caresse de leurs lèvres témoignant de l'attirance et de la complicité qui les unissent.
Léa : (retirant doucement ses lèvres, les yeux brillant d’émotion)
Tu sais, je n'avais pas prévu qu'un simple "bonjour" puisse m'emmener aussi loin... C'est fou, non ?Sophie : (un sourire doux se dessinant sur ses lèvres, elle caresse la joue de Léa)
C'est juste toi, Léa. Avec toi, chaque instant devient spécial. Un baiser, un regard, même un "bonjour"... tout devient plus intense.Léa : (en souriant, touchée par ses mots)
C’est ce que je ressens aussi. On dirait que chaque moment passé avec toi réveille quelque chose de plus fort en moi.Sophie : (en se rapprochant à nouveau, d’un ton plus sérieux mais doux)
Je crois qu'on s'est trouvées, Léa. C’est comme si tout ce qu’on vivait jusqu’ici n’était que la préparation à ce moment précis. Et ce moment-là, je ne veux pas le laisser partir.Léa : (se penchant à son tour pour un autre baiser, mais plus léger cette fois, presque timide)
Je ne veux pas non plus. J’ai l'impression qu'on est à l’aube de quelque chose de beau... Quelque chose qui nous appartient, rien qu’à nous.Sophie : (d’un ton plus profond, avec une sincérité qui la touche)
C’est ça, Léa. Quelque chose de vraiment spécial. Quelque chose qui mérite qu'on y prenne le temps, qu'on le fasse grandir lentement.Léa : (regardant Sophie avec tendresse)
Tu as raison. Chaque geste, chaque mot... Il faut qu’on savoure tout ça. Rien n’est plus important que ce qu’on vit là, ensemble.Sophie : (en glissant doucement sa main dans celle de Léa, les yeux remplis de tendresse et de désir)
Alors, on prend notre temps, et on construit quelque chose de solide. Parce qu’avec toi, je ne veux rien précipiter.Leurs mains se lient plus fermement, et dans le calme qui suit, un nouveau chapitre de leur histoire commence. Un chapitre où chaque mot, chaque regard et chaque "bonjour" deviennent des symboles d’une connexion plus profonde. Rien ne pressait, et elles se sentaient prêtes à explorer ensemble ce chemin qui s’ouvrait devant elles, main dans la main.
Fin
Dans cette histoire, le dialogue évolue naturellement. Ce qui commence par un simple échange de salutations se transforme progressivement en une conversation pleine de complicité et d'attirance mutuelle. L'usage de mots comme "bonjour" et "salope" devient une manière pour les deux personnages de jouer avec leur connexion intime, dans un contexte d'attirance évidente. Elles découvrent que chaque geste, chaque mot, même les plus simples, peuvent prendre une signification plus profonde lorsqu'il y a un lien particulier entre elles.
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Par MADHATTEREKLABLOG dans Accueil le 18 Janvier 2025 à 22:35
Il était environ 7h30 du matin lorsque l’homme arriva devant la maison. C’était un étranger venu d’Afrique, un professionnel appelé pour installer de nouveaux rideaux dans la chambre du couple. Il sonna à la porte. À l’intérieur, le couple entendit la sonnette, mais ne se dirigea pas vers la porte. Celle-ci s'ouvrit automatiquement, comme si le réveil du matin était une habitude qu'ils attendaient sans en être conscients. Mais avant même qu’il n'ait eu le temps de répéter son geste, un léger bruit émana de l’extérieur, suivi d'une voix d'homme. La porte se déverrouilla automatiquement et s'ouvrit comme par magie... L’employé avait été recommandé par des amis du couple. Ils avaient pris rendez-vous avec lui quelques jours auparavant pour qu'il vienne installer de nouveaux rideaux dans leur chambre. Il avait la réputation d’être ponctuel et minutieux, et le couple avait apprécié ses références.
Entrant dans cette grande pièce immense, il entendit de l'autre côté de la porte, à côté, une voix douce. L’homme se laissa guider, suivant la direction claire, presque ensorcelante. C’était la voix d’une femme, calme et séduisante, émanant du système intégré de leur maison. « Entrez, monsieur. » Sa tonalité, à la fois autoritaire et apaisante, portait une sorte d’attraction silencieuse qui, sans qu’il s'en rende compte, influençait ses pas.
L'homme, vêtu d'un uniforme simple mais soigné, les salua d'un sourire discret et respectueux, voyant qu’ils étaient encore à moitié endormis. Lui n’avait même pas eu besoin de se lever ni de se brosser les dents. Ils étaient allongés dans leur lit, l'un d’eux ayant appuyé sur un petit bouton vert de la télécommande placée à côté d’eux. L’ordre était simple : ouvrir la porte. La technologie, toujours plus avancée, avait fait de leur maison un espace où chaque geste était guidé par des commandes à distance.
L’homme, fasciné par la douceur de la voix de la femme, pénétra dans la chambre. Le couple l’attendait, toujours immobile, la télécommande en main. Ils ne parlaient presque pas, leurs yeux fixés sur lui avec une attente calme, lui indiquant de s'avancer. Il s’avança jusqu’à la fenêtre, où il s'apprêta à installer les nouveaux rideaux.
La voix robotique, fluide et parfaite, lui soufflait chaque mouvement, chaque détail à ajuster. C'était comme une sorte de guide invisible, mais omniprésent, qui l'accompagnait dans son travail. La femme, sans dire un mot, semblait là, présente dans chaque geste, chaque ordre subtil que le système de la maison lui communiquait.
Chaque ajustement, chaque geste qu'il effectuait était comme une correction, un perfectionnement, comme un robot intelligent qui réajuste tout. La lumière qui filtrait à travers les rideaux semblait aussi ajustée, comme si la technologie elle-même avait orchestré cet instant. La chambre, d’un calme absolu, était envahie par cette présence robotique, perfectionnée au moindre détail, dans un silence presque hypnotique.
Tout en travaillant, il entendait à nouveau la voix de la femme, qui, sans jamais se montrer, continuait à l'accompagner dans ses gestes. « Ajustez-les un peu plus à gauche, vous y êtes presque », lui soufflait-elle, comme une conseillère invisible mais omniprésente.
L'homme, bien que professionnel, se sentait comme hypnotisé par cette présence virtuelle. Ses mouvements étaient précis, mais quelque chose dans l'atmosphère rendait cette simple tâche plus étrange que d'habitude. La pièce était embaumée d'une douce lumière, et la voix de la femme, dans son esprit, devenait presque une caresse. Elle semblait connaître chaque détail de son travail, comme si elle avait une influence sur chacun de ses gestes.
« Bonjour, vous m'attendiez ? », dit-il, sa voix calme et posée. Le couple lui répondit en souriant, le remerciant d'être venu à l'heure. Ils n’étaient pas pressés. C'était une matinée tranquille, un moment de calme avant que la journée ne commence réellement.
Le poseur de rideaux s’avança dans la chambre, un peu hésitant au début, mais rapidement à l’aise dans cet espace qu’il allait transformer. Il installa ses outils et commença son travail, mesurant minutieusement les fenêtres et ajustant les rideaux. Le couple se tenait à distance, discutant de tout et de rien, observant son travail avec un intérêt discret.
L'homme venait d'Afrique, et parfois, entre deux gestes, il racontait des anecdotes de son pays d’origine, parlant de sa ville natale, de ses habitudes et de sa culture. Le couple l'écoutait attentivement, appréciant cette touche d’exotisme, un petit souffle de lointain dans la routine de leur journée.
Le silence de la chambre, entrecoupé des bruits discrets du travail, était apaisant. Le poseur de rideaux, malgré son accent et son origine lointaine, semblait faire partie du décor. Ses gestes étaient précis, comme s'il avait posé des rideaux dans des milliers de chambres, comme si la tranquillité de ce matin-là faisait partie de son quotidien.quelques minutes plus tard l'employé entendiT.....
je vais te prendre avec force, te baiser comme un animal, et te faire jouir jusqu'à ce que tu sois épuisée, sans me soucier de l'argent.
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Par MADHATTEREKLABLOG dans Accueil le 18 Janvier 2025 à 20:13
Les Douze Portes : Un Voyage Secret
Il se tenait là, devant la première porte, son cœur battant fort. Chaque porte était une invitation à un monde nouveau, interdit, un lieu réservé aux adultes en quête de plaisir et de compagnie. Les numéros de chaque porte étaient gravés dans le bois, mystérieux et prometteurs.
Porte 1 : La Séductrice
La première porte s'ouvrit lentement, laissant apparaître une silhouette féminine aux traits parfaits. Elle le regarda avec une intensité brûlante. "Bienvenue," dit-elle dans un souffle. Sa voix douce et son regard pénétrant l'invitèrent immédiatement à une exploration de la sensualité pure. Elle savait ce qu'il cherchait : un plaisir sans entrave, un désir sans jugement. Elle le guida à travers un voyage sensoriel où chaque caresse était un appel à l'extase.
Porte 2 : La Liberté
La deuxième porte s’ouvrit sur une femme pleine d'énergie, une force vivante qui semblait incarner la liberté elle-même. Son regard audacieux et son corps assuré étaient des invitations à vivre sans aucune contrainte. "Vivre sans règles, c'est ici et maintenant," lui dit-elle, le prenant dans un tourbillon de liberté et d’envie. Avec elle, il apprit que le plaisir pouvait être un acte d’indépendance, une rupture avec les limites imposées.
Porte 3 : La Complice
La troisième porte révéla une femme calme, mais pleine de mystère. Ses yeux brillaient d'une complicité secrète, un lien tacite qu'il ne comprenait qu'en s'approchant d'elle. Elle n'était pas là pour simplement le séduire, mais pour partager un plaisir commun, un échange sincère. Avec elle, il découvrit que la véritable intimité résidait dans la complicité, dans la communion des corps et des âmes.
Porte 4 : La Mystérieuse
Derrière la quatrième porte, une femme l'attendait dans l'ombre. Elle était envoûtante, mystérieuse, chaque geste semblait calculé pour le tenir en haleine. Elle ne disait rien, mais son regard en disait long. "Le mystère est l'essence du désir," murmura-t-elle. Il apprit qu'il n'y avait pas que la gratification immédiate dans la recherche du plaisir, mais aussi la beauté de l’inconnu, le charme de l’attente.
Porte 5 : L'Insoumise
La cinquième porte s’ouvrit sur une femme audacieuse, une véritable rébellion vivante. Elle le saisit immédiatement, l'entraînant dans un tourbillon d’actions spontanées et de plaisirs inédits. "N'aie pas peur de te perdre," lui dit-elle avec un sourire espiègle. Elle lui montra qu’il n'y avait pas de règles en matière de plaisir, que le véritable plaisir se trouvait dans l'exploration et l’audace.
Porte 6 : La Sombre Énigme
Derrière la sixième porte, il rencontra une femme pleine de mystère, mais aussi de sensualité ténébreuse. Elle dégageait une énergie qui fascinait et effrayait en même temps. "Le plaisir réside souvent dans l’ombre," lui dit-elle d'une voix grave. Avec elle, il se laissa emporter dans un monde où l’interdit devenait séduisant, où chaque geste était un jeu de pouvoir et de désir.
Porte 7 : La Douceur
La septième porte s’ouvrit sur une femme sereine, une douceur infinie émanant de chaque mouvement. Elle ne cherchait pas à provoquer un désir brutal, mais à nourrir l’âme autant que le corps. "Le plaisir ne se trouve pas uniquement dans l’excès, mais dans la tendresse," lui expliqua-t-elle avec un sourire calme. Elle lui apprit à apprécier la lenteur, à savourer chaque moment de douceur.
Porte 8 : La Rebelle
La huitième porte se dévoila, marquée par une femme au regard incendiaire et à l’aura de rébellion. Elle vivait selon ses propres règles et n'avait aucune peur de se montrer telle qu'elle était. "Le plaisir est un acte de révolte," dit-elle, l’entraînant dans des ébats passionnés. Avec elle, il découvrit que parfois, le plaisir était une forme de défi, un cri de liberté face aux conventions sociales.
Porte 9 : L’Épicurienne
La neuvième porte s’ouvrit sur une femme qui vivait pour les plaisirs simples et les délices sensoriels. "Le monde est une fête, viens goûter aux plaisirs qu’il a à offrir," dit-elle en souriant. Elle le guida dans un voyage de saveurs, de sensations et d'extases simples. Elle lui montra que le véritable plaisir réside dans l’instant présent, dans la jouissance de chaque petit moment de la vie.
Porte 10 : La Sensuelle
Derrière la dixième porte, une femme d'une sensualité à couper le souffle l’attendait. Chaque geste qu’elle faisait semblait une danse en soi. Elle lui enseigna que le plaisir ne réside pas seulement dans l’acte en lui-même, mais dans la manière de vivre et de ressentir chaque mouvement du corps, chaque souffle échangé.
Porte 11 : L’Exotique
La onzième porte se dévoila sur une femme exotique, mystérieuse, à l’allure fascinante. Elle venait d’un autre monde, et chaque parole qu'elle prononçait était une invitation à découvrir de nouvelles sensations. "Le plaisir ne se limite pas à ce que tu connais," lui dit-elle avec un sourire. Elle lui montra que l'inconnu pouvait offrir les plaisirs les plus exquis, qu'il suffisait de s’abandonner à l’aventure et à la découverte.
Porte 12 : La Sublime
La Porte Spéciale : Le Voyage des Curieuses
Au bout de l’escalier, après avoir franchi les onze premières portes, il aperçut quelque chose de différent. Là, à deux mètres d'une autre porte, se tenait une porte presque secrète, un peu à l'écart des autres, un peu plus discrète. Elle n'avait pas de numéro, ni de marquage visible, à l'exception d'un symbole étrange gravé dans le bois. Une clé entrelacée avec des chaînes, le tout encerclé par une aura mystérieuse. Cette porte semblait incarner l'essence même du secret et de l'interdit. Elle était la Porte Spéciale, un passage codé, réservé à un type particulier de personne : celles qui cherchaient à comprendre, à observer, à pénétrer des mystères plus profonds.
Derrière cette porte, ce n’était pas une simple quête de plaisir physique qui l'attendait. Non, ici, c'était une invitation à des rencontres plus complexes, plus intellectuelles, plus… subtiles. Ce n’était pas pour les curieux qui cherchaient à satisfaire leurs désirs immédiats, mais pour ceux qui étaient prêts à plonger dans la compréhension de l’essence même du désir humain, à explorer ce que l’on cache sous la surface.
La Porte Spéciale : Le Code Secret et l'Infiltrée
Le lieu était unique, un endroit où le plaisir se mêlait à l’observation et à la réflexion. Chaque semaine, le code d’accès à la Porte Spéciale changeait. Ce n’était pas un simple code numérique ; c’était une clé, un symbole qui évoluait en fonction des événements, des personnes présentes et des dynamiques internes. Aujourd’hui, le code était 123456789,
réservé exclusivement aux étudiantes du Master 2 Start-up et Développement Numérique. Ces dernières étaient les seules à pouvoir accéder à cette porte, un privilège accordé à celles qui maîtrisaient le savoir, l’intuition et l’esprit stratégique.
Le lieu,code sous forme de Lettre et chiffre en décryptage (Sécurité, Accès, Savoir), se maintenait en secret et n’était accessible qu’à celles qui possédaient cette carte clé, un badge exclusif délivré à un groupe restreint. Mais aujourd’hui, un incident imprévu allait bouleverser l’ordre établi.
L'Infiltrée
Ce midi-là, à la fin du repas, dans une ambiance de confiance et de complicité, une jeune femme s’approcha discrètement de la porte spéciale, hésitante. Elle n’était pas une étudiante du programme Master 2, et pourtant, elle avait en sa possession une carte de clé — un badge qui ne lui appartenait pas. Comment l’avait-elle obtenue ? Était-ce une erreur, ou avait-elle trouvé, volé, ou même copié le code d'accès ?
Elle s’était faufilée à travers les couloirs, observant attentivement chaque détail. Elle avait entendu des rumeurs, des murmures parmi ceux qui fréquentaient ce lieu mystérieux. "La Porte Spéciale est réservée à ceux qui comprennent le code," disait-on. "Ce n’est pas un accès pour tout le monde, seulement pour ceux qui savent déchiffrer l’art de l’observation, du savoir et de l’intuition." Le badge qu’elle portait avait été subtilisé, ou peut-être simplement récupéré par ruse — un acte audacieux.
La Clé et le Code
Elle s’approcha de la porte, son cœur battant fort. Le symbole gravé sur la porte, une clé entrelacée avec des chaînes, n’était pas là par hasard. Il représentait une énigme, un puzzle complexe, une invitation à ceux qui étaient prêts à comprendre l’essence de ce lieu. Mais pour elle, tout cela n'était qu’un jeu de mots et de signes. Elle savait ce qu'elle cherchait : l’accès, le pouvoir de découvrir ce qui se cachait derrière cette porte.
Elle inséra le code —
. Le système réagit immédiatement, mais rien ne se passa. La porte ne s'ouvrit pas. Pourquoi ? Peut-être qu’elle n’avait pas la bonne approche. Peut-être que quelque chose manquait dans la clé, quelque chose qu’elle n’avait pas encore compris.
Une Intuition qui Ne Trompe Pas
Mais au moment où elle allait tourner les talons, une pensée la traversa. "Peut-être que le code n’est pas ce que je crois." Elle se souvint d’une conversation entendue à demi-mots lors du repas. Quelqu’un avait mentionné que la clé, ce badge, avait une fonctionnalité cachée, un secret à découvrir si l’on savait observer attentivement.
Elle se rappela des autres portes qu’elle avait observées plus tôt dans la journée : des symboles à peine visibles, des détails invisibles à ceux qui ne prenaient pas le temps de regarder. Les clés physiques étaient des moyens de parvenir à un but, mais la véritable clé résidait dans la capacité à interpréter les signes et à les décoder.
Elle appuya une fois de plus sur la serrure, cette fois en utilisant la clé sous un angle particulier, comme si elle savait intuitivement qu’il lui fallait une approche différente. Un léger cliquetis se fit entendre. La porte se déverrouilla.
Au-delà de la Porte
Elle entra discrètement dans la pièce, ses pas légers, son regard curieux.Enfin, la douzième porte s’ouvrit sur deux hommes,la lumière tamisée, l’air frais, l’ambiance silencieuse étaient bien différentes de ce qu’elle avait imaginé. Ce n'était pas simplement un espace physique, mais un univers à part, un endroit réservé aux initiés, un espace où le savoir et l’intuition se mêlaient à des expériences plus profondes, plus complexes ... qui semblaient incarner des professeurs idéaux, mêlant beauté fraîche et désir pour celle qui cherchait à connaître et à en savoir plus. Pour celle qui avait quelque chose de divin, une aura lumineuse.
La jeune femme se rendit rapidement compte qu'elle n'était pas là simplement pour découvrir la lecture mais le plaisir physique,
l'un d'eux nu pour une immersion dans une dynamique plus profonde, où l’observation, la lecture des signes et l’interprétation des gestes étaient les véritables clés.
Ce lieu qui n’était une médiathèque
Ce lieu qui n'a pas l'air d'être un lieu de consommation rapide
Un endroit où l'on peut explorer nos désirs et nos fantasmes sans limites, un espace de liberté et de découverte de soi-même. comme un laboratoire d’expériences et de compréhension. Chaque geste,compte chaque mouvement avait une signification, chaque silence une importance.
"Le plaisir n'est pas un but à atteindre, mais un chemin à parcourir en soi, un éclatement d’être comme les aînés malicieux", lui dit-elle d’une voix profonde et grave. d'en dire qu'elle est la bienvenue .
Avec eux, elle apprit que la quête du plaisir était une recherche infinie, une quête de savoir, de connexion et de transformation. À travers eux, elle ressentit une plénitude qui allait bien au-delà du corps, une union totale entre le désir et l’esprit. »
« Le codage de l’accès pour ceux et celles qui en demandent du plaisir en tous genres et sans limite de parole. »
https://fra.xhvid.com/videos/coquillenettas-11394478
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Par MADHATTEREKLABLOG dans Accueil le 18 Janvier 2025 à 19:49
C'est bon parce que ça me fait sentir prise, possédée, et que je sens que je vais jouir de manière intense et incontrôlable.Je vais te sucer jusqu'à ce que tu jouisses dans ma bouche, et que tu me demandes de continuer. ... Je vais te lécher la chatte jusqu'à ce que tu jouisses, et que tu me supplies de continuer à te faire plaisir Pendant que tu vois t'as copine d'amie le suce Je l'avale tout, chaque goutte de ton sperme, et je sens que je vais jouir encore plus fort en sentant ton goût salé dans ma bouche. ....Je vais te lécher partout, ta queue, tes couilles, et ton cul, jusqu'à ce que tu sois prêt à me baiser...
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Par MADHATTEREKLABLOG dans Accueil le 18 Janvier 2025 à 19:41
Oui, je jouis, mon corps tremble de plaisir, et je sens que je vais exploser de jouissance, putain, c'est trop bon !....Je jouis avec toi, mon corps se déchaîne de plaisir, putain, c'est trop bon, je sens que je vais m'évanouir de jouissance....Parce que ça me fait sentir vivante, ça me fait oublier tout le reste et ça me donne un plaisir qui est difficile à trouver ailleurs.Je cherche un plaisir intense, un désir qui me consume, et une connexion qui me fait sentir vivante, avec toi.
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